mercredi 6 septembre 2023

Voyage de soeurs brasiliennes en France

 Nous, Sr Cleci Cirino et Sr Lourdes Bonatto, avons eu l'occasion de visiter la France. 



Notre objectif principal était de rencontrer Sr Malgorzata Trzcinska, qui a vécu dans notre Centre latino-américain pendant 25 ans et se trouve maintenant en France, ainsi que de faire connaissance et de vivre avec nos sœurs. Nous avons eu droit à bien plus que cela, puisque nous avons visité plusieurs églises, lieux et espaces d'importance historique. Certains précèdent le christianisme. Nous avons commencé par Modane qui, dès le départ, nous a enchantés avec des montagnes plus belles les unes que les autres. Nous avons vu le lac du Mont-Cenis et la belle église pyramidale. Nous sommes passés par Chambéry. 

A Virieu, nous avons aussi visité le cimetière où reposent nos sœurs décédées. Nous avons vu un arbre bicentenaire, l'endroit où notre mission a commencé, et nous avons passé la nuit dans cette belle ville. 

Nous avons passé quelques heures dans la communauté de Grenoble, où nous avons pris un goûter.

 Nous nous sommes rendus dans la commune de Lyon, où nous avons visité la cathédrale, les basiliques et les sanctuaires. Nous avons également visité quelques sites historiques, comme l’Espace Petit Prince et la maison d'Antoine de Saint-Exupéry. 

Nous avons visité la maison, l'église de St Jean Marie Vianey et nous avons eu la chance d'être là où se trouvait, St Vincent, fondateur de la congrégation des Sœurs Vincentiennes. Sœur Véronique Minet nous a emmenés à Paray-le-Monial, le centre de la dévotion au Cœur de Jésus et la maison de Sainte Marguerite Marie Alacoque.


 Le terrain autour de Lyon et de Paray-le-Monial est moins escarpé, avec de beaux arbres et diverses plantations. La cuisine était très bonne et les gens communicatifs et accueillants. Nous tenons à exprimer notre gratitude pour tout ce qui nous est arrivé pendant notre séjour en France. Nous avons pris quelques notes dans ce texte, mais l'héritage que nous portons dans nos cœurs et nos mémoires est incommensurable. Mais ce qui nous a le plus frappé, c'est l’allégresse et le dynamisme des sœurs. Elles nous ont accueillies le cœur ouvert et avec beaucoup de joie. Nous tenons également à souligner le charme et la beauté des montagnes, la beauté et la diversité des collines, même si le manque de pluie s'est fait sentir. Données enregistrées sur le chemin du retour au Brésil le 28 août 2023,

vendredi 11 novembre 2022

"Dieu est amoureux"

 Voici le recueil de poèmes de sr. Véronique.

A lire, prier et méditer

Merci, Véronique de partager avec nous ta prière.




lundi 4 juillet 2022

BEATIFICATION DE PAULINE JARICOT 22 mai 2022 à LYON

 

Le 22 mai 2022, le grand hall de Eurexpo à Lyon, accueillait 10 à 12000 personnes - 120 nationalités présentes - venues du monde entier, pour la Béatification de Pauline Jaricot.

Grande joie pour le peuple de Dieu et plus particulièrement pour l’Eglise de Lyon, d’accueillir et de célébrer la mise à l’honneur de cette femme, lyonnaise, qui a tant œuvrer pour l’Eglise. Cet évènement n’a pu avoir lieu que grâce à la guérison miraculeuse d’une petite fille, Mayline (3 ans), attribuée à l’intercession de Pauline et à la prière des membres du Rosaire vivant. C’est ainsi qu’a été donné au pape François la possibilité d’ouvrir ce procès de Béatification.

Mais qui était Pauline ? C’était une femme, une laïque, engagée dans le monde et engagée pour l’Eglise ; un « âme de feu ». Elle a été tout à la fois femme d’action et femme de prière à la sainteté contagieuse : de son vivant, comme après sa mort, elle a ouvert à beaucoup le chemin vers Dieu. Celle qui se disait « cloîtrée » dans le monde, est un modèle de vie spirituelle incarnée, un modèle de sainteté, une invitation à centrer notre vie sur le Christ. Pauline était lyonnaise, née à Lyon le 22 juillet 1799 ; toute sa vie s’est déroulée à Lyon. Issue d’une famille nombreuse, elle est la dernière d’une fratrie de 7 enfants. Dans sa jeunesse elle mène la vie normale d’une enfant et d’une jeune fille lyonnaise dans le riche milieu des « soyeux » de Lyon (« soyeux », nom donné aux industriels lyonnais travaillant la soie ou faisant le commerce de la soie). Coquette, elle aimait les mondanités : riches toilettes, bijoux, fêtes… ; elle aimait se montrer, parader… jusqu’au jour où étant à l’église, elle entend un sermon sur la vanité. Elle a 16 ans. Bouleversée, se reconnaissant dans cette prédication, elle va se confesser et découvre la vacuité de sa vie. Simultanément elle prend conscience des aspirations profondes qui surgissent en elle. Elle parlera de ce moment comme de « sa conversion ». Fini alors les belles robes en soie, les festivités dans le milieu mondain de son époque. Elle adopte la tenue des ouvrières qu’elle ne quittera plus. Elle va commencer par apporter son aide aux femmes de son quartier, ouvrières sans défense, qui vivaient dans la misère et la prostitution. Elle les embauche dans l’atelier de fleurs artificielles qu’elle a créé. Elle les rassemble pour la prière. En fait elle partage la vie des ouvriers et ouvrières. Parmi les actions qu’elle entreprend, revient le souci des missions qu’elle avait au cœur depuis son enfance. A cette époque, tout un courant missionnaire très dynamique existait à Lyon : des prêtres, des congrégations, des Instituts dont les Missions Etrangères de Paris, revenant en France de différents pays, sensibilisent aux besoins des missionnaires. Elle veut leur venir en aide. Elle imagine alors une action toute simple qui est de constituer des groupes de 10 personnes, chacune donnant 1 sou par semaine ; à leur tête une dizainière qui s’occupe de ramasser, chaque semaine, les 10 sous. Les dizainières étaient constituées en centaines, puis en mille. Parallèlement une chaine de prière se met en place avec la diffusion des nouvelles des missions. Elle ramasse de plus en plus de fonds. Son œuvre prend une dimension universelle jusqu’à devenir – ce que nous connaissons aujourd’hui comme l’Œuvre de la Propagation de la foi, connue dans le monde entier et dont le but est toujours (2 siècles après) de soutenir les missionnaires et leur action quel que soit le pays. Dans la même période, son initiative la plus importante est celle du Rosaire Vivant, véritable armée de priants. Elle qui a toujours eu une grande dévotion à Marie, avait ce désir que la méditation des 15 mystères du rosaire - la connaissance du Christ par Marie - soit à la portée de tous les chrétiens et surtout des plus petits, des plus pauvres. Sur le modèle de la propagation de la foi, elle invite les personnes à s’associer – par 15 - selon le nombre des mystères. Chaque membre tire au sort un des mystères du rosaire et s’engage à réciter, chaque jour et pendant un mois, une dizaine de chapelet en le méditant. Ainsi tout le Rosaire est récité et médité quotidiennement par les 15 associés. Une responsable est à la tête de chaque groupe de 15. Très vite le Rosaire Vivant, se structure, se hiérarchise et se diffuse à travers le monde. Il est dit qu’en France, à la mort de Pauline en 1862, il y avait 2,5 millions d’associés. 

Un nouveau projet fait jour dans sa tête (ce n’est pas pour rien qu’on l’a appelée la « faiseuse de plans ») : dans son désir d’évangéliser la classe ouvrière elle souhaite créer une entreprise exemplaire en rachetant des bâtiments d’usine. Elle rencontre de nombreuses résistances, ses adversaires la poussent à la ruine. Pauline mourra, après bien des situations douloureuses, dans le dénuement le plus complet et dans le mépris de beaucoup. Quand le pape Jean XXIII signe en 1963 le décret la proclamant vénérable il s’écrie, la voix brisée par l’émotion : « Pourquoi lui ont-ils fait tant de mal ? » En effet, comment en est-on arrivé là ? Dans ses épreuves, jamais elle n’a perdu confiance. Ses nombreux écrits, témoignent de sa foi, de son espérance et de sa charité. Elle écrira : « J’ai tout appris, Seigneur, à vos pieds ». Oui, elle a appris à connaître son Seigneur à ses pieds, c’est-à-dire, pour elle, au pied de la croix. 

jeudi 30 juin 2022

PÈLERINAGE DES JEUNES DE SAVOIE A ROME

 

RETOUR DU PÈLERINAGE DES JEUNES A ROME

Un petit groupe de jeunes, engagés dans le service de la Pastorale des Jeunes et des Vocations en Savoie, a participé au pèlerinage à Rome du 20 au 23 juin 2022. Les jeunes ont été accompagnés par soeur Renata Miszczuk et le père Serge Ngolo.

Lors de ce pèlerinage « Sur les pas des témoins de foi » nous avons marché sur les pas de : st Pierre Apôtre, st. Jean Apôtre, st Ignace de Loyola, ste Ursule Ledochowska, st Jean-Paul II et ste Faustine Kowalska. Nous avons visité les lieux ou les églises marqués par la présence de ces témoins - la basilique st Pierre et st Jean de Latran, les églises : st Ignace, st Louis des Français, Del Gesù, le sanctuaire de la Divine miséricorde. Nous avons vu aussi d’autres lieux importants dans la ville sainte : le Colisée, le Forum Romanum, la Scala Santa, la Place Navone, le Panthéon, la Fontaine de Trevi, le Capitole, …

Mercredi matin nous avons eu la joie de participer à l’audience générale du pape François qui a salué personnellement notre petit groupe de Savoie. Sa catéchèse sur le texte de st Jean 21, 15-23 nous a beaucoup touchée.

Chaque jour a été rythmé par la messe, le temps de prière ainsi que par les différentes rencontres. Etant accueillis à la maison générale des sœurs ursulines CJA, nous avons pu échanger avec elles et poser des questions sur la foi chrétienne, la vie religieuse et sur l’appel de Dieu.

Par ce temps fort vécu ensemble à Rome nous avons clôturé cette année pastorale qui a été très riche et très belle.

Nous remercions également plusieurs personnes grâce auxquelles nous avons pu vivre ce beau pèlerinage.


Sr Renata Miszczuk

Communauté Modane-Chambéry


Voici quelques témoignages des jeunes :

« Nous avons passé quatre journées bien remplies entre des temps de prière, de visites, de partage. Nous avons été heureux de participer à l'audience du pape en représentant la pastorale des jeunes et des vocations de Savoie. Ce périple nous a permis d'aller sur les pas de différents saints et de connaître mieux chaque membre du groupe. Rome est une ville magnifique, remplie de merveilles. Merci Seigneur pour la beauté de la création. » (Philipinne, responsable des messes des jeunes)



« Le pèlerinage à Rome a été une bénédiction pour moi ! Une équipe formidable a fait de ce voyage une réussite, elle a été riche en enseignements, en partages et avec de merveilleux témoignages. Sans oublier l'accueil chaleureux des sœurs Ursulines.

Selon moi, les cinq mots qui définissent ce pèlerinage sont : amour, obéissance, fraternité, espérance et charité.

Je remercie Le Seigneur d'avoir rendu possible ce pèlerinage et remercie encore les organisatrices et les pèlerins de la Pastorale des Jeunes et des Vocations de Savoie. »

(Christian, équipe « com’jeunes »)

« Ce fut un pèlerinage court et riche en émotion, le petit groupe de 8 qu’on était a permis d’installer une réel fraternité et de beaux moments de partage comme de prière. Le fait d’avoir chacun un saint à présenter a ajouté une touche plus dynamique au sein du groupe de pèlerin.
Aussi et surtout le fait d’avoir été accueilli par les sœurs ursulines a été une réel bénédiction, de part leur hospitalité, leur accueil, leur nourriture, et leur témoignage. Je pense que cela nous a permis d’être pleinement plongé dans l’univers du Christ.
Un grand bravo et merci à soeur Renata et Maria pour toute l’organisation et l’énergie dépensée afin que chacun puisse se rapprocher un peu plus du Seigneur. » (Laureen) Merci













mercredi 9 mars 2022

De nos sœurs en Ukraine

 

1. Chernivtsi, près de la frontière roumaine, appartient à la partie de l'Ukraine qui est la plus pacifique. Certes, nous entendons régulièrement des sirènes et devons courir vers des abris, mais, Dieu merci, nous n'avons pas encore été bombardés. C'est pourquoi les gens viennent ici des régions du pays qui sont détruites. Les autorités locales et les habitants s'engagent à accueillir les personnes déplacées. Nous avons un petit appartement ici, donc un paroissien familier de Donetsk reste avec nous. Et les personnes qui viennent chez nous sont hébergées par des paroissiens ou dans la salle de catéchisme sur des matelas. Nous essayons de diverses manières de soutenir à la fois ceux qui viennent et les locaux se remplissent de peur, d'anxiété et d'incertitude. D'ordinaire, une personne a besoin d'être nourrie, de recevoir les objets nécessaires, des médicaments ou simplement d'être écoutée. Avec les paroissiens, nous nous engageons dans diverses actions de bénévolat.  Les filles vont trier et remballer les dons importés ou fabriquer des filets de camouflage pour l'armée. Les garçons, quant à eux, aident à décharger et à emballer les camionnettes qui distribuent l'aide aux différents centres de personnes déplacées, ou se rendent plus à l'est où il y a des combats.
Un grand merci à tous ceux qui, à l'étranger, nous soutiennent de diverses manières, qui accueillent nos personnes, et surtout pour leurs prières. C'est notre meilleure arme, celle que nous pouvons toujours utiliser et celle qui est la plus efficace, celle avec laquelle nous pouvons faire le plus. Un grand Dieu vous bénisse.

 Chaque sœur veut rester à l'endroit où elle exerce son ministère. Sœur Anna, que la guerre a trouvée en Pologne (elle a subi un traitement ophtalmologique), souhaitait vivement revenir. Cependant, ce n'est pas si facile pour les citoyens polonais. Dieu a trouvé un autre moyen de l'aider. Elle s'est rendue à Częstochowa, où nos sœurs et les Pères pauliniens ont accueilli plus de 150 réfugiés. La sœur sert principalement d'interprète... S. Teresa I. au téléphone tout le temps. Elle traduit et coordonne également les voyages de diverses personnes. Dans beaucoup de nos maisons, il y a déjà quelques familles ou les sœurs se préparent à les recevoir. Nous vous parlerons de nombreuses initiatives dans les prochaines nouvelles. Nous devons partager le bien, car il y a beaucoup plus...

Nous restons unies dans la prière. Certainement aussi dans les nombreuses propositions d'aide qui existent autour de nous



lundi 28 février 2022

UKRAINE

De la lettre de nos sœurs en Ukraine : 

Les sœurs de nos communautés en Ukraine sont relativement en sécurité. La communauté de Dnipro se trouve à l'extrême Est du pays. Après le bombardement de l'aéroport là-bas, c'est maintenant calme, les combats continuent près de Donetsk (environ 280km.). Le calme règne également à Chernivtsi, près de la frontière roumaine. À Kamenets, il n'y a pas de bombardements, mais un trafic intense, la ville accueille des réfugiés de différentes régions d'Ukraine. Nous recevons également des familles dans notre maison et dans la maison paroissiale des pèlerins. Dans la matinée, deux familles de Kiev sont arrivées, il y a déjà plusieurs personnes de Kharkiv, et d'autres arrivent. Dans la soirée, nous aurons les deux maisons pleines. Nous verrons ce qui se passera ensuite. Nous avons de l'eau, de la lumière, du chauffage et de la nourriture, nous pouvons nourrir les autres. Il y a de problème avec le pain, mais nous avons réussi à en acheter aujourd'hui. C'est très difficile, parce qu'à chaque instant la situation s'aggrave en ce qui concerne les combats, beaucoup de gens meurent, y compris des civils. Nous prions et avons confiance en la miséricorde de Dieu. Notre Carême a déjà commencé. Dans la cathédrale, il y a des messes pénitentielles et aujourd'hui il y a le Chemin de Croix. Nous sommes très reconnaissants que les Sœurs soient avec nous.  Nous espérons vous voir bientôt. Salutations chaleureuses de Kamieniec Podolski. 
								s. Natalia et ses sœurs d'Ukraine 



En Europe, des pays, mais surtout des gens comme vous et moi, s'organisent pour aider nos frères en Ukraine :

Accompagnons nos sœurs d'Ukraine, mais préparons nous aussi à accueillir les nombreux réfugiés dans notre pays.


 

mardi 25 janvier 2022

RENCONTRE DES JEUNES SOEURS URSULINES CJA A ROME

Une rencontre de jeunes sœurs Ursulines CJA des centres italien et français a eu lieu du 3 au 8 janvier 2022 à Rome. Le thème était 

« Sur les pas de la Mère Ursule, attentives et ouvertes aux signes de temps ». 

Il y avait 13 participantes : de Scauri Sr. Honorata, de Trivento Sr. Eulalia et Sr Marife, de Rome - Ricotti Sr Suzana et Sr Emerenziana, de Primavalle Sr. Julita, Sr. Febrionia, Sr. Valeria et Sr. Ansila, de la Maison Générale, Sr. Renata. Il y avait aussi deux sœurs de France : sr Renata de Chambéry et sr Anna de Taizé ainsi que sr Teresa Iwan, l'assistante générale, qui est venue de Pologne.

Mère Beata Mazur a rencontré les sœurs par le biais d'Internet. Elle a parlé des joies et des difficultés de la vie des Ursulines et a encouragé les jeunes sœurs à s'aimer les unes les autres.

Les sœurs ont pris du temps pour approfondir l'histoire de la Congrégation, en détaillant les séjours de la Fondatrice à Rome. Une grande aide a été apportée par Mère Françoise Sagun qui a dévoilé beaucoup de détails de la vie de St Ursule et de l’histoire de la Congrégation.

Les sœurs ont pu visiter toutes les communautés romaines ainsi que plusieurs églises fréquentées souvent par La Fondatrice (Del Gesù, Sant Leon, Santa Maria degli Angeli e dei Martiri, Santa Maria Maggiore).

Chaque jour il y avait une rencontre pour approfondir le thème. Au cours de la rencontre, elles ont réfléchi à ce que représente Mère Ursula pour chacune d'entre elles : mère, professeur, témoin d'une vie humble, simple et joyeuse, exemple de sainteté et d'amour de Dieu et des hommes... 

Puis elles ont partagé en groupes l'expérience de la vie des Ursulines dans les pays où elles travaillent et d'où elles viennent.

Les sœurs ont également parlé des signes des temps qu'elles voient dans le monde d'aujourd'hui, dans l'Église, dans l'apostolat, dans la communauté, et ont ensuite réfléchi à la manière dont elles peuvent y répondre en tant qu'Ursulines  CJA. Les sœurs avaient de nombreuses propositions différentes et concrètes.

Une sœur a écrit : "Pour moi, en tant que sœur ursuline du Cœur de Jésus Agonisant le plus important est la prière et l'Eucharistie, qui me donne la force de servir. D'abord là où je vis, dans ma communauté, et ensuite en dehors de la communauté, c'est-à-dire là où il y a des besoins, avec l'amour que nous recevons de Jésus dans l'Eucharistie. ». L'autre a dit : "Nous, Ursulines, pouvons aider les autres dans notre vie quotidienne en témoignant d'un service joyeux, en particulier auprès de nos sœurs âgées, des enfants et des jeunes, en donnant un sourire à ceux qui ont besoin d'espoir, d'amour et de paix."
A la fin de la rencontre, les sœurs ont parlé des fruits qu'elles ont gardés de cette expérience internationale, des fruits pour elles-mêmes, pour la communauté et pour la Congrégation.



Cette rencontre, conçue et préparée par des jeunes sœurs, a été l'occasion de faire connaissance entre elles, venant de communautés, de cultures ou de pays différents, parlant des langues différentes. La joie d'être ensemble, de prier ensemble, de partager la vie spirituelle et quotidienne a marqué ce temps à Rome.


Nous espérons que l'expérience de cette rencontre internationale restera longtemps dans le cœur de chacune des participantes et qu'elle aidera à construire le Royaume du Cœur de Jésus avec un engagement croissant.